Une fois de plus, le Musée d’histoire ouvrière a l’honneur de se voir octroyer des fonds de Jeunesse Canada au travail (JCT) pour l’embauche de deux étudiantes d’été. Ensemble, elles vont nous aider dans la gestion des collections et dans la progression de certains de nos projets continus.

Cette semaine nous vous présentons notre première étudiante, Lana Henderson, que nous sommes très privilégiés d’avoir avec nous.

Quel est votre nom?

Je m’appelle Lana Henderson.

D’où venez-vous?

Je suis née à Ottawa en Ontario.

Quelle est votre occupation principale?

Je suis présentement étudiante dans le programme d’Études muséales appliquées au Collège Algonquin. J’entreprends ma dernière année en septembre qui vient.

Pourquoi vous êtes-vous jointe à l’équipe du Musée de l’histoire ouvrière?

Je me suis jointe à l’équipe de ce Musée parce qu’à mon avis, observer Ottawa à travers les yeux des gens au quotidien raconte une histoire à la fois importante et fascinante tout en me permettant d’obtenir une expérience de première main dans mon domaine et ainsi faire avancer ma propre passion et mes études.

Quel est le projet auquel vous êtes la plus fière d’avoir participé?

J’ai trouvé très enrichissant de travailler sur la collection du MHO. Le processus de catalogage et de recherche sur les artéfacts sont des tâches que je trouve satisfaisantes et importantes et auxquelles je suis fière de participer.

Qu’est-ce que votre bénévolat au MHO vous apporte de meilleur?

La meilleure chose que m’apporte mon bénévolat au MHO c’est l’occasion de travailler pour un musée dirigé par des gens passionnés en provenance de la communauté. Cela permet l’expression de la créativité et de la collaboration dans une atmosphère positive et motivée.

Si vous aviez une machine à remonter dans le temps et que vous pourriez visiter n’importe quelle période historique, laquelle choisiriez-vous?

Si j’avais une machine à remonter dans le temps, j’aimerais visiter le Japon au milieu du 19e siècle, au début de la période Meiji. Cette période a vu le Japon se détourner de son passé féodal isolationniste pour adopter sa forme moderne d’aujourd’hui. Ce serait quelque chose de fascinant à voir.