• "Il neigeait en cette nuit de décembre en 1942 dans le village d’Almonte lorsque les fêtes de la Noël en Ontario ont été écourtées par la nouvelle qu’un train de passagers à destination d’Ottawa avait été embouti par un train de militaires canadiens alors qu’il était encore au quai. Il s’agit de l’un des pires accidents ferroviaires dans l’histoire du Canada. À Ottawa, les raconteuses Donna Stewart et Ruth Stewart-Verger relate les histoires des gens et des événements entourant le déraillement à Almonte. Johnny Spinks, un chansonnier à Almonte, accompagné de Bradley Scott, ont interprété la chanson de Mac Beattie intitulé « Train Wreck at Almonte », gracieuseté de la famille Beattie, ainsi que l’air de son cru « Rust on the Rails ». Il s’agit d’un hommage aux gens qui ont voyagé par train ou qui ont travaillé à bord des trains dans la vallée d’Ottawa et, plus précisément, ceux qui sont venus au secours du train no 550, le train de Pembroke, par sale temps, le 27 décembre 1942. Une vidéo de 50-minutes en anglais seulement."
  • Cette presse traditionnelle, dont on se sert toujours en Croatie pour divertir et éduquer les touristes, contribue à la deuxième étape de la production de l'huile d'olive.
  • Puis, pendant quelques brèves années, un service de trains à vapeur pour le transport de passagers réapparu à Ottawa. En vedette, cette locomotive, construite en 1907 en Suède. Dès 1992, les gens de la place et les visiteurs purent prendre le train à vapeur Hull-Chelsea-Wakefield pour faire une excursion d'une journée longeant la rivière Gatineau jusqu'à Wakefield. Le train empruntait les voies ferrées construites par l'Ottawa and Gatineau Valley Railway en 1891. Reprise par le CP, le service de transport de passagers et de marchandises fut assuré jusqu'à la fin des années 1960, après quoi la ville de Chelsea a préservé la ligne ferroviaire afin de pouvoir éventuellement mettre en valeur le train à vapeur. Malheureusement, les inondations de 2011 endommagèrent la ligne au-delà de toute réparation rentable et mirent donc fin à l'excursion populaire. Les wagons pour passagers furent mis au rebut, mais on peut encore voir la locomotive remisée dans le parc écologique Dalton à Gatineau, au Québec.
  • Au début du XIXe siècle, on vit apparaître des scieries à proximité des chutes de la Chaudière, au cœur de ce qui serait un jour les villes d'Ottawa et de Hull-Gatineau. Pendant la majeure partie du XXe siècle, les usines de pâtes et papier E.B. Eddy ont dominé ce site industriel. Voici une vue de l'un de ses plus anciens bâtiments depuis un loft qui surplombe l'espace où se trouvaient autrefois d'énormes machines à papier.
  • Si la plupart des images amassées étaient des clichés utilitaires, les photographes étaient à l’affût de moments magiques où la lumière et la composition leur offraient l’occasion de faire une photo artistique unique. Nous les encouragions vivement à prendre le temps de capter de telles images. L'éclairage sombre de cette journée d'hiver, combiné à la texture et à la couleur de la brique, fut l'un de ces rares moments que le talentueux Raymond Massé a su saisir.
  • Parmi les innombrables petits objets abandonnés dans un bureau de supervision, on trouve ce jeu de clés qui contrôlaient autrefois l'accès aux horloges, aux armoires et aux pompes. Si au moment d’être photographiées, elles n’avaient rien d'exceptionnel, un enregistrement visuel de cette technologie de base sur le lieu de travail, telle qu'elle existait au début du XXIe siècle et avant, n'aurait peut-être pas été préservé sans les efforts du musée de l’Histoire ouvrière et de ses bénévoles.
  • Les travailleurs du bois utilisent des ciseaux pour couper et façonner le bois depuis l'époque néolithique, et les modèles ont peu changé au cours de ces milliers d'années. La plupart des ciseaux ont une section transversale rectangulaire, avec une extrémité affûtée pour obtenir un bord carré et tranchant, et un manche en bois. Les gouges sont des ciseaux dont la section transversale est incurvée pour couper des courbes. Cet ensemble provient d'une collection appartenant à Gus Hatfield (1916-1981), dont on peut voir le nom incisé sur de nombreux manches.
  • "L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) est nee en 1966 de la fusion de deux associations rivales de fonctionnaires. Cinquante ans plus tard, l’AFPC est l’un des syndicats les plus importants et les plus progressistes au pays. Son histoire est indissociable de ceux et celles – membres, personnel et leaders – qui l’ont batie et façonnee au cours des ans. Ce livre leur rend hommage. II ya eu des victoires, des revers et des echecs, de nombreux obstacles a surmonter, a l’interne comme a l’externe. Au fil de son evolution, l’AFPC a su garder le cap, tirer les leçons qui s’imposaient et continuer d’avancer. Que lui reservent les 50 prochaines annees? De nombreux dossiers en friche et, sans doute, de nouveaux enjeux complexes. Quoi qu’il en soit, l’AFPC est parfaitement outillee pour relever de nouveaux defis et envisager l’avenir avec confiance."
  • Voici l’histoire des frères Wong, qui sont venus à Ottawa, au Canada, pour y construire leur vie et celle de leur jeune famille. Des histoires comme la leur jettent les bases d’une ville extraordinaire. Inspiré des recherches de Denise Chong.
  • Cette bande-vidéo de 100 minutes, Les 50 ans du Syndicat des employé-e-s de l’impôt, célèbre les réalisations d’une entité syndicale et de ses membres à la veille de son 50e anniversaire. Créée en 1940, l’« Association des employés de l’Impôt du Dominion » est devenue l’« Élément de l’Impôt » de l’Alliance de la fonction publique en 1966, puis le « Syndicat des employé-e-s de l’impôt » en 1987. Au fil des ans, le syndicat s’est bâti une réputation à titre d’entité militante et efficace, mais également vouée à établir de bonnes relations de travail avec l’employeur, soit l’Agence du revenu du Canada. Un 50e anniversaire, ça se fête !
  • L'histoire de la Marche sur Ottawa Pendant la Grande crise, le gouvernement canadien mit en place le Programme de secours pour les chômeurs, un système national de camps de travail pour les célibataires sans emploi. Entre autres projets de construction au pays, on confia à ces hommes des travaux de construction routière. En échange de ce dur labeur, l’État offrit de les loger, de les nourrir et de leur verser une allocation de 20 cents par jour. En 1935, environ 1 500 hommes des divers camps de travail en Colombie-Britannique débrayèrent pour revendiquer de meilleures conditions de travail. Après quelques semaines de manifestations et forts des appuis de leurs collectivités, ils décidèrent de se rendre à Ottawa pour faire part de leurs doléances au Premier ministre de l’époque. Ce fut le début de la grande marche sur Ottawa (« On-To-Ottawa Trek ») qui inspire le mouvement syndical au pays depuis maintenant plus de huit décennies.

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