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1) Quel est votre nom ? Christine Goneau

2) D’où venez-vous et dans quelle région habitez-vous maintenant ? Je suis née et viens d’Orléans où je vis toujours.

3) Quelle est votre principale occupation ? Mon occupation principale est étudiante à l’Université du Québec en Outaouais en muséologie. J’ai déjà obtenu un baccalauréat spécialisé approfondi en arts avec une majeure en histoire et une mineure en étude ancienne.

4) Depuis combien de temps êtes-vous bénévole pour le Musée de l’histoire ouvrière et qu’est-ce qui vous a attiré vers le Musée ? J’ai commencé mon bénévolat avec le Musée durant l’été de 2012 et je suis revenue durant l’été 2013 après l’école pour continuer. J’ai été attirée vers le Musée, car j’adore l’histoire et j’ai réalisé que je ne connaissais pas l’histoire d’Ottawa ou de sa classe ouvrière et considérant que ma famille s’est toujours battue pour les droits de la personne, je voulais en apprendre plus. Les travailleurs sont souvent mentionnés dans l’histoire canadienne, mais rarement de façon importante à cause des figures importantes de l’histoire canadienne qui prennent souvent leur place au premier plan. De plus, être une étudiante en histoire et en muséologie, ceci est ce qui m’intéresse.

5) Participez-vous ou avez-vous déjà participé à des comités ? Je fais partie du comité d’exposition et éducation.

6) Nommez le projet auquel vous avez participé qui vous rend la plus fière. Je n’ai pas fait partie de plusieurs projets donc je dois choisir celui que je travaille dessus depuis le début qui est celui de Britannia–sur–la–baie reliée avec l’histoire du tramway électrique d’Ottawa. J’ai appris beaucoup de choses différentes sur ce projet et je le trouve très intéressant, j’ai eu des opportunités de menées des entrevues avec des personnalités, reliées aux sujets, très intéressants. Écouter ces histoires est ma partie préférée et avoir eu cette opportunité m’est très importante. Ce sont ces récits qui donnent la vie et de la réalité à l’histoire. De plus, j’ai aimé apprendre à propos des passes temps du monde du 20e siècle de la région.

7) Qu’aimez-vous le plus d’être bénévole au Musée de l’histoire ouvrière ? Ceci revient à la question, qu’est-ce qui m’a attirée au Musée ? J’adore apprendre tous les choses différentes qui se sont passées à Ottawa et que je n’ai jamais peu apprendre de mes enseignants et j’adore tous les différents récits que j’ai été capable d’entendre grâce à mon bénévolat avec le Musée. C’est intéressant d’attendre tous ces récits de personnes régulières qui ont fait des choses extraordinaires en se battant pour les droits de la personne.

8) Si vous aviez une machine à reculer le temps et vous pouviez visiter n’importe quelle période historique, quelle choisiriez-vous ? Il y a tellement de choses que je voudrais voir de mes propres yeux à travers l’histoire du monde, mais je dois aller avec le début du 20e siècle, qui est ma période historique préférée à étudier. La Première Guerre mondiale est le précurseur de beaucoup de changements au Canada, surtout avec la classe ouvrière. J’ai toujours intéressé avec les stratégies militaires des deux guerres mondiales. Lors de la Première Guerre mondiale, c’est un temps ou il y a une révolution technologique, une nouvelle façon de faire la guerre et dont tous le monde a été demandé de participer à. C’est une période ou tout le monde veut participer, même les enfants. Avec les hommes partis en guerre, les femmes arrivent en grand nombre sur le marché du travail, avec des nouvelles positions qu’elles n’auraient jamais obtenues auparavant. De plus, contrairement à la Seconde Guerre mondiale où le monde se bat contre un nouveau régime, l’identité canadienne est un point très important lors de la première. La nationalité canadienne prend de l’ampleur pendant et après la Grande Guerre et le Canada démontre qu’on a du pouvoir aussi comme pays. C’est aussi une époque avec pas d’électricité dans une grande partie des coins ruraux, les grandes villes en on déjà, ce qui est quelque chose de très différent que j’aimerais vivre ou au moins connaître des personnes qui l’on vécu. Avec le dernier vétéran de la Première Guerre mondiale mort, l’histoire orale de cette guerre ne peu plus évolué il reste personne à qui parlé.