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Un jeu de 8 cartes postales de travailleuses et de travailleurs pendant les années 40, 50 et 60, y compris des monteurs de ligne, une enseignante, des briqueteurs, des inspecteurs des viandes, une blanchisseuse, des contrôleur-e-s de tickets de tramways ou d’autobus, des réparateurs des rails de tramways et des chauffeurs de camions de l’Armée du Salut qui récupèrent différents objets pendant la guerre.
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"Il neigeait en cette nuit de décembre en 1942 dans le village d’Almonte lorsque les fêtes de la Noël en Ontario ont été écourtées par la nouvelle qu’un train de passagers à destination d’Ottawa avait été embouti par un train de militaires canadiens alors qu’il était encore au quai. Il s’agit de l’un des pires accidents ferroviaires dans l’histoire du Canada. À Ottawa, les raconteuses Donna Stewart et Ruth Stewart-Verger relate les histoires des gens et des événements entourant le déraillement à Almonte. Johnny Spinks, un chansonnier à Almonte, accompagné de Bradley Scott, ont interprété la chanson de Mac Beattie intitulé « Train Wreck at Almonte », gracieuseté de la famille Beattie, ainsi que l’air de son cru « Rust on the Rails ». Il s’agit d’un hommage aux gens qui ont voyagé par train ou qui ont travaillé à bord des trains dans la vallée d’Ottawa et, plus précisément, ceux qui sont venus au secours du train no 550, le train de Pembroke, par sale temps, le 27 décembre 1942. Une vidéo de 50-minutes en anglais seulement."
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Le calendrier de 2024 du musée de l’Histoire ouvrière célèbre les maisons et les foyers de la classe ouvrière. Bien que les ouvriers aient construit toutes les maisons patrimoniales, il est frappant de constater que parmi celles habitées par la classe ouvrière peu nombreuses sont celles à l’abri de ce type de développement urbain. Celles qui ont été photographiées et archivées sont encore plus rares. Nous souhaitons vivement que le calendrier de 2024 contribue en quelque sorte à la préservation de ce patrimoine. En effet, certaines des maisons et des habitations qui y figurent n’existeront peut-être plus sous peu. Nous voulons rendre hommage aux ouvriers dont les métiers ou les compétences durement acquises ont permis de créer de beaux espaces fonctionnels dans notre ville, avant qu'ils ne soient effacés par le temps. Coût : 10$ chacun plus frais de port 5$ 5 ou plus 8$ chacun plus frais de port Contactez treasurer@workershistorymuseum.ca pour connaître les frais d'envoi des commandes groupées
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Le calendrier de 2025 du musée de l’Histoire ouvrière rend hommage à la photographie transformatrice et au legs des frères Malak et Yousuf Karsh, photographes canadiens de souche arménienne. Le rapport qu’entretenaient les Karsh incarne le mentorat, l’acquisition des compétences et le transfert du savoir d’une génération à l’autre. Le choix des photographies souligne la valeur de l’apprentissage expérientiel dans les métiers, les arts et les sciences. L’enseignement et l’apprentissage caractérisent le monde du travail où il est évident que la mémoire collective est l’un des plus grands atouts de l’humanité. Coût : 10$ chacun plus frais de port 5$ 5 ou plus 8$ chacun plus frais de port Contactez treasurer@workershistorymuseum.ca pour connaître les frais d’envoi des commandes groupées
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Le vinaigre d'érable est obtenu grâce à la fermentation de la sève d'érable partiellement bouillie jusqu'à ce qu'elle se transforme en vinaigre, ce qui peut prendre plusieurs semaines. Le vinaigre est ensuite vieilli pendant un an ou plus dans un tonneau de chêne pour en rehausser la saveur qui sera unique et excellente pour préparer des vinaigrettes ou des sauces avec vos huiles et vos épices préférées. Nous nous sommes associés à Fortune Farms, de la région d'Almonte, qui produit du sirop d'érable depuis les années 1850 dans l'est de l'Ontario. Vous pouvez acheter des bouteilles de 250 millilitres de vinaigre d’érable au prix de 10 $ la bouteille. Les fonds ainsi amassés serviront à couvrir nos frais généraux. Nous pouvons expédier les bouteilles de vinaigre partout au pays ou à l’étranger.
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Cette bande-vidéo de 100 minutes, Les 50 ans du Syndicat des employé-e-s de l’impôt, célèbre les réalisations d’une entité syndicale et de ses membres à la veille de son 50e anniversaire. Créée en 1940, l’« Association des employés de l’Impôt du Dominion » est devenue l’« Élément de l’Impôt » de l’Alliance de la fonction publique en 1966, puis le « Syndicat des employé-e-s de l’impôt » en 1987. Au fil des ans, le syndicat s’est bâti une réputation à titre d’entité militante et efficace, mais également vouée à établir de bonnes relations de travail avec l’employeur, soit l’Agence du revenu du Canada. Un 50e anniversaire, ça se fête !
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"Il y a 50 ans, des leaders de différentes associations, parfois rivales, se sont données rendez-vous lors d’un congrès pour créer un syndicat de fonctionnaires fédéraux. Il s’agissait de l’aboutissement de nombreuses années de luttes pour se retrouver sur un pied d’égalité avec les travailleurs et les travailleuses du secteur privé. C’était un premier pas pour opérer un changement digne de ce nom dans le milieu de travail de nos membres, venir en aide aux familles et bâtir des collectivités. Cinquante ans plus tard, nous avons grossi nos rangs pour inclure les fonctionnaires du Nord, les auxiliaires d’enseignement et de recherche, ainsi que les travailleurs et les travailleuses des communautés autochtones, entre autres. Dès le début, l’AFPC a compris l’importance de s’inscrire dans le mouvement travailliste, au Canada et à l’étranger, afin d’être solidaire avec la classe ouvrière du monde entier. Alors que nous célébrons nos 50 ans, il nous faut continuer de bâtir notre syndicat. "