-
"L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) est nee en 1966 de la fusion de deux associations rivales de fonctionnaires. Cinquante ans plus tard, l’AFPC est l’un des syndicats les plus importants et les plus progressistes au pays. Son histoire est indissociable de ceux et celles – membres, personnel et leaders – qui l’ont batie et façonnee au cours des ans. Ce livre leur rend hommage. II ya eu des victoires, des revers et des echecs, de nombreux obstacles a surmonter, a l’interne comme a l’externe. Au fil de son evolution, l’AFPC a su garder le cap, tirer les leçons qui s’imposaient et continuer d’avancer. Que lui reservent les 50 prochaines annees? De nombreux dossiers en friche et, sans doute, de nouveaux enjeux complexes. Quoi qu’il en soit, l’AFPC est parfaitement outillee pour relever de nouveaux defis et envisager l’avenir avec confiance."
-
Ces cinquante années d’histoire soulignent les réalisations d’une organisation syndicale. Elles se veulent un effort de préservation, un legs aux futures générations de membres et de militants. Le récit s’ouvre sur la fondation de l’Association des employés de l’Impôt, en 1943, qui a formé l’Élément de l’Impôt de l’Alliance de la Fonction publique du Canada en 1966. Connaissant un grand succès, l’Élément a changé de nom pour devenir le Syndicat des employé(e)s de l’impôt en 1987. Au fil des ans, le Syndicat s’est fait connaître pour son militantisme et son efficacité, mais plus particulièrement pour sa capacité à établir de bonnes relations de travail à tous les égards avec l’employeur, c’est-à-dire l’Agence du revenu du Canada. Voilà véritablement de quoi célébrer !
-
"Il y a 50 ans, des leaders de différentes associations, parfois rivales, se sont données rendez-vous lors d’un congrès pour créer un syndicat de fonctionnaires fédéraux. Il s’agissait de l’aboutissement de nombreuses années de luttes pour se retrouver sur un pied d’égalité avec les travailleurs et les travailleuses du secteur privé. C’était un premier pas pour opérer un changement digne de ce nom dans le milieu de travail de nos membres, venir en aide aux familles et bâtir des collectivités. Cinquante ans plus tard, nous avons grossi nos rangs pour inclure les fonctionnaires du Nord, les auxiliaires d’enseignement et de recherche, ainsi que les travailleurs et les travailleuses des communautés autochtones, entre autres. Dès le début, l’AFPC a compris l’importance de s’inscrire dans le mouvement travailliste, au Canada et à l’étranger, afin d’être solidaire avec la classe ouvrière du monde entier. Alors que nous célébrons nos 50 ans, il nous faut continuer de bâtir notre syndicat. "
-
Cette bande-vidéo de 100 minutes, Les 50 ans du Syndicat des employé-e-s de l’impôt, célèbre les réalisations d’une entité syndicale et de ses membres à la veille de son 50e anniversaire. Créée en 1940, l’« Association des employés de l’Impôt du Dominion » est devenue l’« Élément de l’Impôt » de l’Alliance de la fonction publique en 1966, puis le « Syndicat des employé-e-s de l’impôt » en 1987. Au fil des ans, le syndicat s’est bâti une réputation à titre d’entité militante et efficace, mais également vouée à établir de bonnes relations de travail avec l’employeur, soit l’Agence du revenu du Canada. Un 50e anniversaire, ça se fête !
-
Le vinaigre d'érable est obtenu grâce à la fermentation de la sève d'érable partiellement bouillie jusqu'à ce qu'elle se transforme en vinaigre, ce qui peut prendre plusieurs semaines. Le vinaigre est ensuite vieilli pendant un an ou plus dans un tonneau de chêne pour en rehausser la saveur qui sera unique et excellente pour préparer des vinaigrettes ou des sauces avec vos huiles et vos épices préférées. Nous nous sommes associés à Fortune Farms, de la région d'Almonte, qui produit du sirop d'érable depuis les années 1850 dans l'est de l'Ontario. Vous pouvez acheter des bouteilles de 250 millilitres de vinaigre d’érable au prix de 10 $ la bouteille. Les fonds ainsi amassés serviront à couvrir nos frais généraux. Nous pouvons expédier les bouteilles de vinaigre partout au pays ou à l’étranger.
-
Nous nous sommes associés à Fortune Farms, de la région d'Almonte, qui produit du sirop d'érable depuis les années 1850 dans l'est de l'Ontario. Vous pouvez acheter des bouteilles de 500 millilitres de sirop doré, ambré ou foncé au prix de 15 $ la bouteille. Les fonds ainsi amassés serviront à couvrir nos frais généraux. Nous pouvons expédier les demi-litres de sirop partout au pays ou à l’étranger.
-
Nous avons établi un partenariat avec Fortune Farms, une érablière située à Almonte, qui produit du sirop d’érable dans l’Est ontarien depuis 1850. Vous pouvez acheter des bouteilles d’un litre de sirop doré, ambré ou foncé contre 25 $ pièce. Les fonds ainsi amassés serviront à couvrir nos frais d’exploitation. Nous pouvons expédier les litres de sirop partout au pays ou à l’étranger.
-
Le calendrier de 2025 du musée de l’Histoire ouvrière rend hommage à la photographie transformatrice et au legs des frères Malak et Yousuf Karsh, photographes canadiens de souche arménienne. Le rapport qu’entretenaient les Karsh incarne le mentorat, l’acquisition des compétences et le transfert du savoir d’une génération à l’autre. Le choix des photographies souligne la valeur de l’apprentissage expérientiel dans les métiers, les arts et les sciences. L’enseignement et l’apprentissage caractérisent le monde du travail où il est évident que la mémoire collective est l’un des plus grands atouts de l’humanité. Coût : 10$ chacun plus frais de port 5$ 5 ou plus 8$ chacun plus frais de port Contactez treasurer@workershistorymuseum.ca pour connaître les frais d’envoi des commandes groupées
-
L'histoire de la Marche sur Ottawa Pendant la Grande crise, le gouvernement canadien mit en place le Programme de secours pour les chômeurs, un système national de camps de travail pour les célibataires sans emploi. Entre autres projets de construction au pays, on confia à ces hommes des travaux de construction routière. En échange de ce dur labeur, l’État offrit de les loger, de les nourrir et de leur verser une allocation de 20 cents par jour. En 1935, environ 1 500 hommes des divers camps de travail en Colombie-Britannique débrayèrent pour revendiquer de meilleures conditions de travail. Après quelques semaines de manifestations et forts des appuis de leurs collectivités, ils décidèrent de se rendre à Ottawa pour faire part de leurs doléances au Premier ministre de l’époque. Ce fut le début de la grande marche sur Ottawa (« On-To-Ottawa Trek ») qui inspire le mouvement syndical au pays depuis maintenant plus de huit décennies.
-
Le calendrier de 2024 du musée de l’Histoire ouvrière célèbre les maisons et les foyers de la classe ouvrière. Bien que les ouvriers aient construit toutes les maisons patrimoniales, il est frappant de constater que parmi celles habitées par la classe ouvrière peu nombreuses sont celles à l’abri de ce type de développement urbain. Celles qui ont été photographiées et archivées sont encore plus rares. Nous souhaitons vivement que le calendrier de 2024 contribue en quelque sorte à la préservation de ce patrimoine. En effet, certaines des maisons et des habitations qui y figurent n’existeront peut-être plus sous peu. Nous voulons rendre hommage aux ouvriers dont les métiers ou les compétences durement acquises ont permis de créer de beaux espaces fonctionnels dans notre ville, avant qu'ils ne soient effacés par le temps. Coût : 10$ chacun plus frais de port 5$ 5 ou plus 8$ chacun plus frais de port Contactez treasurer@workershistorymuseum.ca pour connaître les frais d'envoi des commandes groupées
-
Au début du XIXe siècle, on vit apparaître des scieries à proximité des chutes de la Chaudière, au cœur de ce qui serait un jour les villes d'Ottawa et de Hull-Gatineau. Pendant la majeure partie du XXe siècle, les usines de pâtes et papier E.B. Eddy ont dominé ce site industriel. Voici une vue de l'un de ses plus anciens bâtiments depuis un loft qui surplombe l'espace où se trouvaient autrefois d'énormes machines à papier.
-
Si la plupart des images amassées étaient des clichés utilitaires, les photographes étaient à l’affût de moments magiques où la lumière et la composition leur offraient l’occasion de faire une photo artistique unique. Nous les encouragions vivement à prendre le temps de capter de telles images. L'éclairage sombre de cette journée d'hiver, combiné à la texture et à la couleur de la brique, fut l'un de ces rares moments que le talentueux Raymond Massé a su saisir.